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  • L'heure des tribunaux a sonné. Merkel en tête de file.

    Cela fait longtemps que je suis dégoûté par les politiques migratoires européenne et suisse. Là, nous allons en parler sans la moindre pincette, la situation devenant insupportable.

    Pour l'immigration, nous sommes gouvernés à peu près dans toute l'Europe par, au mieux, des irresponsables, au pire, des hérétiques. J'y inclus la Suisse, car depuis les années 80, nous avons une succession de Conseils fédéraux destructeurs de l'identité de ce pays, nous y reviendrons plus factuellement sous peu. Depuis quelque temps, on peut craindre le drame terroriste ici aussi. 

    Mais il y a pire dans le reste de l'Europe. Vous y trouvez des gouvernants qui envoient leurs soldats un peu partout dans les zones instables et saisies par les fous des dieux, et qui font subir de terribles représailles à leurs peuples par ici. Aucun risque en effet, qu'eux ne sautent dans des stations de métros, trains ou gares. Ça, c'est pour leurs concitoyens.

    Vous y trouvez aussi des gouvernants qui ont estimé qu'il fallait, au mieux, accueillir une vague de réfugiés de tous ordres, au pire la faire venir, provoquant des chocs culturels fatals. Ils nous mettraient sans hésiter un brave couple de lesbienne au milieu d'enturbannés. Et désormais, les paisibles gens allant célébrer les nouvel-ans sont agressés, et d'autres sont fauchés sur les marchés de Noël. Tristesse ou colère incontrôlable, j'en ai les yeux mouillés en l'écrivant, je le jure.

    Et puis vous avez le pire. Les gouvernants qui non seulement envoient leurs troupes dans les pays pré-cités, mais qui en plus font venir des masses de réfugiés de ces mêmes pays. La plus irresponsable entre tous, bien que Valls en France fît fort aussi, c'est Merkel, de son injuste prénom Angela, dont je donnai la couleur sous un autre billet. Elle, elle a fait les deux.

    Eh bien, de la même manière que Trump a menacé Clinton pour des broutilles, il faut que quelqu'un s'occupe de l'amener vraiment en justice, elle. Si j'étais Allemand, je déposerais ce jour plainte pour mise en danger de la vie d'autrui, au minimum, comme des centaines de ses compatriotes le font. En tout les cas, vu l'état de la Suisse, si par malheur quelque chose de similaire arrivait ici, j'avise d'ores et déjà que je le ferai de suite.

    Je crains que ce ne soit qu'une question de temps.

  • Eh oh les Vaudois, ça suffira...

    Ce n'est pas un sujet existentiel. Mais il va bien pour finir ce dimanche soir.

    Depuis des années, des lustres même, j'entends les Vaudois critiquer Genève. Je crois savoir qu'ils font un peu la même chose avec les Valaisans, et les Français. Ce doit être par nature, mais quand c'est généralisé, c'est propre aux complexés, aux prétentieux, ou aux jaloux. Rien n'est beau.

    J'ai la chance d'aimer toute la Romandie, et de bien connaître le canton de Vaud. J'y ai été tellement souvent, j'ai vécu dans sa capitale qui veut jouer à la capitale de tout. J'aime les habitants du canton, et connais les différences qu'il peut y avoir entre entre un Montreusien et un Sainte-Crix. J'aime donc le canton de Vaud, et Genève, chance que peu de Vaudois ont.

    Mais voici qu'une flopée d'humoristes se paie Genève. Je rigole toujours de bon coeur mais là, je note de sales ressentiments. Nathanaël Rochat qui, énergique et vif comme à l'accoutumée, nous fait ses petits commentaires. Suivi par les deux compères de "26 minutes" qui, interviewés par Léman Bleu, avaient des mines déconfites et ont sorti les leurs. Et enfin, la star du moment Thomas Wiesel qui, à la Revue, ressasse. Ressasser c'est pas bon pour l'humour, disait-il lui-même justement.

    Ce gars-là, je l'aime bien. Je fus tellement surpris par les similitudes de vie que l'on a eues lors de l'une de ses nombreuses interviews, que ça rassemble. J'aime son humour, sa vivacité d'esprit -réelle cette fois-. Si Lucky Luke tirait plus vite que son ombre, lui il tire avant son esprit. Mais l'entendre, lui aussi, répéter les mêmes choses sur Genève, déclenche mon ire. Il me décide donc ce soir.

    Certes, Genève n'a pas toujours fait tout bien, ni tout juste. Mais ni Vaud ni Lausanne. Et si l'on croit faire rigoler en disant que le Jet d'eau est un problème technique, moi j'avance en français ce que j'ai entendu jusque là quelques fois en anglais : le M2 est un funiculaire. Humour ou pas, imaginez que ça prenne. Vous ne pourriez vous en prendre qu'à vous-même.

    On ne se fichera plus de Genève aussi gratuitement. Cette ville je l'ai montrée, faite visiter à des centaines de personnes. Autant en privé que professionnellement, et d'un peu partout de Suisse et du monde. Toutes l'ont aimée, certaines adorée, au point de s'y établir. Donc les critiques vaudoises, récurrentes, lourdes, commencent à être difficilement supportables.

    Surtout que plus de 20'000 d'entre eux viennent gagner leur pain à Genève.