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  • L'arme nucléaire à Kiev !

    J'interromps ici une petite pause interrogative sur la poursuite de ce blog. Le monde ne va pas mieux, l'ira-t-il d'ailleurs seulement une fois. Echanger, communiquer, crier toutefois me manquent. Proposer aussi.

    Puisque le monstre russe décida il y a quelques mois via son monstre de président qu'il fournirait et installerait des têtes nucléaires auprès de son pays vassal qu'est la Biélorussie, je considère que nous devons en faire de même avec l'Ukraine.

    Entendons-nous bien. Je ne soutiens nullement le nucléaire. Ni militaire, ni civil. Je pense au contraire (et l'ai déjà dit dans ce blog), qu'à supposer que le monde nous survive un millénaire, notre brève période d'à peine un siècle ou deux sur notre histoire civilisationnelle sera considérée, plus tard, comme la plus barbare de tous les temps. Nous avons en effet enfoui sous terre ou jeté en mer des résidus nucléaires qui perdureront des milliers d'années. On serait qualifié de barbare pour moins que ça.

    Mais la bombe atomique existe. Et une poignée de pays l'ont. Ceux-ci se croient surpuissants grâce à elle, et le montrent bien. J'ai une crainte qui perdure nerveusement depuis le début de ce fichu conflit : l'accident nucléaire, puisque l'être humain est assez con pour aller bombarder les bâtiments jouxtant des réacteurs nucléaires. Ce qui arriva pour Tchernobyl ne serait qu'un détail comparé à cela. Mais j'ai aussi une autre crainte. C'est le geste désespéré du monstre russe, qui lancerait une bombe atomique sur Kiev, ou ailleurs en Ukraine.

    Ce risque est résiduel, mais il existe. Et c'est pour cela que je me prends à rêver que dans le plus grand secret, des têtes nucléaires soient acheminées en Ukraine. Et qu'ensuite la communication en soit faite. Il est évident que jamais Kiev ne prendra le risque d'en envoyer sur la tête des moscovites, ou des russes, en premier.

    En revanche, si le monstre russe décidait cette folie, perdu pour perdu, Kiev lancera une équivalence dans les instants qui suivent. Jamais Moscou ne prendra ce risque. Disparaître en quelques secondes, pensez-donc. On appelle cela l'équilibre de la terreur.

    Cela doit marcher pour l'Ukraine désormais.