Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Russie, le début de la fin

Les personnes m'ayant honoré de la lecture de mon billet similaire concernant la fin de Poutine penseront que je vais vite en besogne. Elles auront peut-être raison.

Celui-ci n'est pas encore écrasé en effet, ni capturé, ni trépassé. Mais ma certitude quant à sa fin prochaine est intacte. Je la souhaite immensément fortement. Je n'ignore toutefois pas que selon qui lui succèderait, nous ne serions pas forcément délivrés de cette sale situation, mais la probabilité que celle-ci s'améliore est tout de même bien là et mérite d'être à tout le moins espérée.

Cela dépendra de ce qu'il restera de son pays. Il me paraît impossible en effet, et je le dis avec une fière joie, que son pays subsiste tel quel, pour grand qu'il soit. Lorsque toutes ces pauvres anciennes républiques soviétiques se rendront compte de ce qu'on aura fait de leur jeunes gens envoyés au front, alors qu'on ne touchera jamais aux fils de bonne famille de Moscou ou de St-Pétersbourg, la dose de haine qui en sortira contre le reste de la Russie sera colossale. Légitime, méritée. Et c'est bien possible qu'elle soit déjà là. 

Un éclatement du plus grand pays du monde me semble donc possible. Une guerre civile également, bien que les probabilités soient tout de même plus faible. L'une ou l'autre cependant, entraineront l'échappée de bien des régions. Tout cela à cause d'un seule homme.

Il aura bien mérité l'un comme l'autre.

Écrire un commentaire

Optionnel