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  • De la recréation d'un Parti des automobilistes...

    On pourrait appeler cela un retour aux premières amours...mais de façon plus passionnelle encore.

    Pour avoir soutenu le Parti des automobilistes dans les années 90 qui avait plusieurs députés tant cantonaux que fédéraux, révolté que j'étais, déjà, devant  les mesures coercitives et les taxes que le gouvernement suisse et le Conseil d'Etat genevois de l'époque se sentaient convaincus et heureux d'infliger aux automobilistes, je considère que désormais il devrait absolument revoir le jour.

    Certes, toute son idéologie n'est pas forcément à reprendre. Certes aussi, il lui faudrait un programme politique vaste et clair, l'auto motion n'étant pas non plus le seul sujet dans la vie. Il n'y aurait en tout cas pas de place pour les chauffards, ni pour les excités du klaxon. À l'exception peut-être des manifestations de colère à chaque aménagement dont l'imbécilité saute aux yeux, et ils sont pléthore.

    Il ne devrait pas nécessairement porter le même nom. Il pourrait parfaitement être national également, car l'immobilité en Suisse devient quasi générale. Il devrait, en tout cas, être absolument à pleine capacité pour les prochaines élections genevoises.

    Bien que j'aie des colères et des idées plein la tête, je n'ai pas une envie majeure de débouler sur la Place avec un parti, à cause des conséquences personnelles et professionnelles. Mais une lutte dure et franche contre l'idéologie qui nous pourrit la vie depuis longtemps nous, les centaines milliers d'usagers motorisés genevois, versus les quelques milliers de cyclistes convaincus pour qui rien n'est trop beau, s'impose. Ce serait maintenant ou jamais.

    Je vous confesse donc être sur le qui-vive, et attends de voir ce qui va se passer suite à leur dernière folle lubie du 30kh. généralisé (s'il se passe quelque chose), qui démontre bien que ce petit Conseil est à l'exact opposé de la population. Seuls deux honorables conseillers d'Etat sur sept s'y opposant alors que dans la population, je l'affirme, c'est plutôt l'inverse.

    Toutefois, si je devais finalement prendre la décision d'y aller, un peu poussé, mon engagement n'en serait que plus déterminé. Les verts, rouges, et pire, les centristes extrêmes qui tant de ravages ont fait sur les nerfs des Genevois et sur l'économie, n'auront qu'à bien se tenir.

    Car j'en suis sûr, il ferait un véritable tabac.

     

    PS : Les personnes intéressées peuvent me contacter via les commentaires qui, dans ce cas, ne seront pas publiés.