Fin du Monde : Promettez-nous, vous ne nous la referez plus?
Personnellement je n'en doutais pas un seul instant, mais très heureux quand même d'être en mesure de réécrire quelques lignes rapides en ce samedi matin post fin du Monde. Bien que ce soit encore le 21 dans une partie de celui-ci, soyons optimistes, disons-nous que nous nous en sommes tirés!
Mais franchement, cette histoire qui nous a été rabâchée pendant une année, puis dégonflée soudainement 24 heures avant dans tous les médias nationaux ou internationaux que j'ai l'habitude de suivre, pour quelles raisons divines ou plutôt obscures, c'est la même chose, est révoltante. Cela ne doit plus se reproduire. Comme je me suis permis de le dire sur mon précédent billet, il y a des personnes aujourd'hui qui doivent se sentir bien mal. Tels comportements et telles séquelles.
La fin du Monde arrivera, c'est une évidence. L'extinction du soleil en est la cause naturelle la plus certaine, mais probablement la plus lointaine. Même si les scientifiques mesurent qu'il perd plus de 4 millions de tonnes par seconde, ils nous annoncent encore bien 5 milliards d'années de vie. Donc si une masse céleste n'a pas la mauvaise idée de venir flirter de trop près avec nous avant, nous avons le temps. En revanche, la folie nucléaire des hommes est celle qui pourrait être la plus proche. Mais aucune ne pourra se prédire et encore moins avec certitude.
Les médias qui ont porté, colporté exagérément cette bêtise ont une lourde responsabilité. Je n'exclus pas que d'ici peu nous apprenions que certains ont des comptes à rendre. Je le souhaite, même.