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Ne pas se taire - Page 8

  • Quand K.K.S. écrase S.K.

    Ainsi donc, un camp de migrants sur l'île de Lesbos est en état d'émeute, à nouveau. La population locale a dépassé toutes les limites du supportable, comme celle des petites îles italiennes. Voire, de toute la Grèce et d'Italie.

    Les destructeurs d'identité du Continent européen que sont la chancelière allemande et le président français actuels, ont clamé leur traditionnelle et inévitable rengaine de "solidarité".

    Leur deux pays, comme le nôtre, sont méconnaissables. La violence y devient folle, l'insécurité galopante. Les coups de couteaux qui avaient été généralement sortis du continent, y reviennent vitesse grand V. Le vivre-ensemble est bousillé depuis longtemps, comme chez nous. Il suffit d'ouvrir les yeux en marchant dehors, en particulier la nuit, pour se rendre compte de ce que nous avons, nous aussi et à cause de nos gouvernements, sur notre territoire.

    Hormis les deux maléfiques dirigeants précités, il se trouve qu'en Suisse, aussi, certains sont inévitablement apparus pour aller clamer leur belle "solidarité". Parmi eux, les villes suisses follement tenues par la gauche depuis longtemps. Sami Kanaan en tête. Au demeurant compétent, intelligent, mais fondamentalement imprégné par cette tendance à la solidarité destructrice. Il appelait, avec ses autres collègues impétrants, à faire venir encore et toujours plus de ces gens.

    Mais arriva un moment de bonheur. Oh, il n'a pas duré bien longtemps, mais fut puissant. La Conseillère fédérale en charge de l'immigration Karin Keller-Sutter (nonchalamment appelée parfois KKS), connue pour ses positions dures, leur a rappelé à toutes et tous, bien gentiment et avec le sourire, que la politique migratoire était de compétence fédérale. Point.

    Même si le gouvernement a dit qu'il accueillerait quelques dizaines de mineurs non-accompagnés, sur lesquels nous allons tomber nuitamment prochainement, (nous, pas le gouvernement avec ses gardes du corps), ce sera infiniment moins que ce que ces villes suisses de gauche auraient quémandé, heureusement. Mais cette Dame ne sera pas là éternellement, malheureusement. 

    Il ne fallait pas manquer une si belle occasion de la saluer.

  • Dal Busco trace ses routes. Il va m'y trouver.

    Ainsi que je l'ai annoncé, j'avais la ferme intention de monter en puissance contre ce conseiller. À la suite de l'interview qu'il a donnée au journal de Léman Bleu, il précipite l'affaire.

    Hormis ce qu'il a commis et dont nous avons parlé, il faut y rajouter que ce personnage est incompétent, de mauvaise foi et un menteur. Résumons.

    Pendant la période Covid, il a validé la condamnation de la voie d'urgence qui arrive aux HUG pour les ambulances, dont les sirènes font tant de ravages sur la santé par là-bas. En fermant la rue qui mène aux Urgences pour les voitures. Résultat : il a mis, là aussi, le chaos dans le quartier. Vous avez bien lu, la finalité était une voie d'urgence condamnée. Incompétence. Et la grande mode maintenant, c'est les boulevards à 30kh. Il valide, bien entendu. Stupidité.

    Puis, de manière dictatoriale, il a fait peindre des esplanades cyclables sur nombre d'avenues et boulevards de notre ville. Les personnes parlant encore de "pistes" cyclables devraient arrêter de se ridiculiser. Résultat, sortie de pandémie, les gens groggy se font briser les nerfs sur les routes. À Genève, nous avons des politiciens véritablement contre nous.

    Arrive ensuite cette interview où il vient nous dire, comme font tous les anti-voitures primaires, "que les autres villes font de même", et patati et patata. Eh bien non. En Suisse, seule Lausanne qui vote terriblement à gauche, a fait des aménagements similaires. Mais là-bas, personne n'est assez imbécile pour faire des esplanades de 5 ou 10 mètres de large comme ici. Et ailleurs dans le monde, non plus.

    Mal à l'aise et courroucé, il rappelle son diplôme d'ingénieur (sic...) et critique les "500'000 ingénieurs à Genève", et s'entête dans sa propre bêtise : il vient fanfaronner d'une augmentation de...15% des déplacement cyclistes. C'est comme passer de 10'000 à 11'500. Fichtre ! Et de rajouter qu'il ne ferait qu'appliquer la LMCE(*). Allez dire aux Genevois qu'ils ont voté pour diminuer les voiries routières de 50%. Mieux, faites-les revoter ! Mais alors, protégez vos joues, monsieur le conseiller.

    De plus, initialement annoncées provisoires, ça ne le sera plus. Il a juste voulu nous amadouer, un peu comme l'enveloppe des 10'000,- hein ? Menteur !

    Comme semble-t-il, ni la raison ni sa raison ne vont l'arrêter, il faut stopper ce personnage, et il y a des solutions. Puisque le Grand Conseil ne va pas non plus arriver à renverser la vapeur, PDC oblige, s'offrent à nous plusieurs solutions :

    - Une initiative d'abolition de l'IN 144. Puisqu'elle avait été acceptée par les poils, avec la situation actuelle, l'on peut d'ores et déjà espérer 55% de oui, voire bien plus, surtout que les électeurs de la Ville de Genève qui votent pourtant aussi terriblement à gauche, balayèrent les rues piétonnes. Que bien entendu les intégristes au pouvoir nous installent malgré tout les unes après les autres.

    - Une initiative exigeant le retour à la situation ante la bonne excuse Covid. Il ne faudrait pas avoir peur, les 17'000 parafes soutenant ces aménagements sont un plafond de verre. Il doit y avoir au moins 200'000 automobilistes à Genève qui pestent, fussent-ils, comme moi, surtout piétons.

    - Une initiative de destitution du personnage lui-même, avec mention dans le texte "au prochain dimanche électoral". En se postant au milieu des bouchons par lui créés pour la faire signer, nous pourrions le sortir avant la fin de l'année.

    Cela fait longtemps que l'envie d'intervenir sur les points que je ne supporte plus me démange. Commencer maintenant semble pertinent, si ce désastre n'est pas renversé. Le fait de poster ce billet tardivement dans une nuit de dimanche à lundi, alors que tôt demain le travail m'attend, pourrait bien démontrer ma détermination. Et si c'est pour faire tomber ce conseiller d'Etat qui semble être le pire de l'histoire récente de Genève, encore mieux.

    Et il tracera sa route.

     

    * "Loi pour une mobilité cohérente et équilibrée"

  • Le fascisme vert est à Genève

    Non, mesdames et messieurs aimables lecteurs, ce titre n'est pas un appât. Nous devons absolument en prendre conscience, le fascisme vert est à Genève.

    Certes, il n'a pas sorti les armes. L'occasion de rappeler que c'est avant tout une idéologie, de celles toutefois où les armes pointent leurs canons avec un certain empressement. Avec une forte exclusion de l'Autre.

    Cela a commencé avec l'hystérie, la haine, des végétariens du plus mauvais acabit. Souvenez-vous, les manifestations, les caillassages de boucheries. Des millénaires que l'animal mange l'animal, mais soudainement, ça devrait s'arrêter. Qu'ils aillent se poster devant l'eau transparente d'une rivière montagneuse canadienne, voir les ours attraper et couper en deux les fiers saumons ayant la malchance de passer par là ! Qu'ils aillent en savane voir ce qu'il s'y passe ! Ou plus simplement, que quelqu'un les informe que chaque seconde des milliards d'insectes, poissons et autres animaux sont avalés par d'autres ! Cela devrait réfréner leurs incommensurables convictions.

    Certes, ils n'officiaient pas officiellement sous la bannière des Verts, mais personne ne m'enlèvera de la tête qu'une immense partie d'entre eux en provient, le trio écolo-végétaro-homo étant si courant. Mais il y a pire. Sans même que ce soient ces derniers, plusieurs personnes ont déclaré que par respect pour l'environnement, il ne fallait pas...faire des enfants ! Ils en sont là.

    Nous avons d'autres exemples encore. C'était lors du Grand conseil genevois. Une députée verte s'emporta, fit un discours de rejet de qui ne pensait pas comme eux d'une violence telle, qu'elle me fit stopper net mes activités. Son nom doit être cité sans la moindre hésitation, afin que l'abcès crève et que, soit les électrices et électeurs se ravisent à la prochaine élection, soit nous pouvons d'ores et déjà nous préparer au pire. Je suis en train de le rechercher et l'ajouterai. *

    Puis, eh oui ce n'est pas fini, arriva l'action incroyable du conseiller Dal Busco. Qui fit peindre de nuit et sans concertation des esplanades cyclables sur nos avenues, toutes plus débiles les unes que les autres. La Rafle du Vel'd'Été. Cette action, là aussi, rejetant avec une telle virulence une grande partie de la population, tend vers le fascisme vert.

    Prenons tous bien conscience de cet état de fait. Défendons-nous. Tout en respectant la nature, n'arrêtons jamais de leur rappeler que même dans le meilleur des cas, 80% des gens n'ont jamais voté Vert. Quant au personnage précédemment cité, je vais rapidement revenir sur lui.

    Soyez-en sûr.

     

    * Grâce à l'aimable information d'un commentateur sur le fil de discussion ci-dessous, je suis dispensé de devoir regarder une séance entière de Grand conseil en streaming pour retrouver son terrible numéro. Il s'agit de la députée Paloma Tschudi.